Incipit :
« Je suis bien étonné, monsieur, d’apprendre qu’on vous attribue, je ne sais pour quelle raison… »
Résumé :
Sa l. du 30 janvier 1755 qu’on attribue à Bourgelat ; a écrit à Soufflot « ces jours derniers » pour lui demander justice. Montucla a dû écrire à Mathon. S’indigne qu’on attaque un académicien, pensionné par un roi philosophe. Lui demande de rendre sa l. publique, ainsi que les précédentes.
Incipit :
« Si la conduite qu’on a tenue à mon égard, monsieur, dans l’affaire du P. Tolomas ne m’avait accoutumé… »
Résumé :
Etonné de ce que Bourgelat lui dit dans sa l. [inconnue] : rumeurs selon lesquelles D’Al. serait brouillé avec lui car il l’aurait entraîné dans de fausses démarches. L’assure de son attachement, ne regrette rien, n’a pas agit à la légère contre Tolomas. N’a reçu d’attestation que de Béraud. Soufflot le défend. La l. de Montucla à Mathon. Les lettres patentes de la Société. Lui demande de rendre publique sa l., la dernière de la querelle. Compliments à Villers, Goiffon.