Incipit :
« J’appris hier, mon cher abbé, par M. de Knyphausen que je n’avais point vu depuis … »
Résumé :
Vraie « querelle d’Allemand ». N’a aucune nouvelle de Prades ni de ses affaires : il a une dette de 100 louis avec ses libraires et sa pension [de Fréd. II] n’est pas payée, mais il est gêné d’en parler. A parlé à l’abbé d’Héricourt rapporteur de Prades : sa rétractation est une affaire réglée. A appris par Knyphausen que Fréd. II a fait une chute. Compliments à d’Argens.
Incipit :
« J’ai reçu, mon cher abbé, votre lettre, et j’ai déjà touché en conséquence les six premiers mois de la seconde année… »
Résumé :
Remerciements pour la pension de Fréd. II. Compte tenir sa promesse de voyage après la parution du t. VI de l’Enc. Demande si Fréd. II est content de l’Eloge de Montesquieu. Remboursement du voyage. Tableaux à vendre, Métra, celui de Mme Geoffrin [de Van Loo] fort cher. L’insolence des Anglais, le malheur de Lisbonne.