Incipit :
« Vous devez vous rappeler qu'en 1770 [1771], j'ai eu l'honneur de vous écrire, pour savoir de vous… »
Résumé :
Sur ses propositions de quadrature du cercle et le rapport de Jeaurat, puis celui de Pingré, concluant que tout dépendait de la validité des équations proposées. D’Al. opposé à l’enregistrement de ce rapport. Son « art de Rayer » approuvé par l’Acad. [sc.] en 1766, D’Al. l’aurait fait rayer de la liste de correspondants. Pourquoi quadrateurs envoyés au « commissaire des enfants perdus » ? Proteste de l’injustice dont il est victime, se réclame de la duchesse d’Orléans. Invoque un motif secret de combattre la quadrature. Prétend toujours avoir la résolution de la quadrature et du problème des longitudes. Demande rép. publique.
Incipit :
« J’ai reçu, monsieur, la lettre que vous m’avez fait… »
Résumé :
Rép. à la l. de D’Al., comme secrétaire de l’Acad. fr., du 15 janvier, pour son ouvrage sur la quadrature du cercle [Essai phisico-géométrique]. Lui en envoie un exemplaire pour qu’il puisse le réfuter, comme l’ouvrage l’y invite. « La guerre finira quand il vous plaira ».
Incipit :
« J’ai reçu, monsieur, la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 20 de ce mois… »
Résumé :
Le refus indigne de D’Al. à sa provocation (Essai phisico-géométrique), suite à l’opposition à l’enregistrement en 1771 du rapport en sa faveur de Pingré. Entend forcer juridiquement D’Al. à répondre. L’Acad. sc. ne peut faire de loi. A communiqué leur correspondance au Garde des sceaux, au ministre [de la Maison du roi ?] et à divers souverains.