Incipit :
« Je vais, monsieur, jouir des droits d'une confraternité qui m'honore autant qu'elle m'est chère… »
Résumé :
Se défend d'être l'ami et le protecteur de Fréron malgré son intervention auprès du roi de Pologne. Mme de Boufflers. Fréron a exagéré dans ses Lettres… La mauvaise pièce du Souper ; a laissé croire que c’était de Tressan. Il a écrit une lettre à l'abbé Raynal destinée au Mercure. Maupertuis et La Condamine ont passé une semaine avec lui à Toul. Lui demande de communiquer sa l. à son illustre ami [Diderot], Duclos et Saint-Lambert.
Incipit :
« On ne peut être plus sensible que je le suis, mon cher et illustre confrère, au mouvement que vous avez bien… »
Résumé :
Défense de Rousseau insulté en présence du roi de Pologne [affaire Palissot, auteur de la comédie Le Cercle, jouée le 26 novembre 1755 à Nancy] ; l. du roi à Tressan. Insulte liée aux feuilles de Fréron. Fréron et Stanislas. Remercie Mme de Bassompierre.
Incipit :
« Vous recevrez probablement cette lettre, monsieur et cher confrère, en même temps que celle que j’eus l’honneur de vous écrire hier. »
Résumé :
A envoyé la l. de Tressan à Rousseau et a vu la rép. de Rousseau. Il est tout à fait de l’avis de Rousseau qui demande qu’on pardonne à celui qui l’a insulté [Palissot]. P.-S. : ne lire au roi que ce qui le regarde, ne veut pas nuire à Fréron, ni à Palissot.
Incipit :
« Cette lettre vous sera rendue, mon cher et illustre confrère, par mon intime ami M. Bourgelat, … »
Résumé :
L. transmise par Bourgelat, envoyé en Lorraine par le ministère, et qu’il recommande chaudement. Rit et méprise « les protégés et les protecteurs, les Palissots de Nancy et ceux de Versailles, les Palissots mâles et femelles » [Choiseul, Mme de Robecq].
Incipit :
« Je ne peux, messieurs, ni ne dois désavouer la lettre que… »
Résumé :
Sa lettre à [Palissot] de janvier ou février 1763 que [Palissot] vient de faire publier, circonstances ; sa [Dunciade]. Art. « Parade » envoyé en janvier 1756 en réponse à [Palissot]. P.-S. Invite les destinataires de cette lettre à la faire publier.
Incipit :
« J'avais espéré, monsieur et illustre confrère, que mon… »
Résumé :
A été indigné par l’art. de [Palissot] dans sa nouvelle Dunciade, ne voudrait pas que les rédacteurs de l’Enc. soient compromis. Demande d'imprimer sa l. du 18 juin jointe. Espère le voir à l'Acad. sc. le mercredi. Que sa l. soit publiée avec son art. « Parade » pour une nouvelle éd. de l’Enc.
Incipit :
« Je n'ai lu, monsieur, ni l'ancienne ni la nouvelle D… »
Résumé :
Récuse son rôle d'éditeur des dix derniers vol. de l'Enc., qui contient l'art. « Parade ». N’a aucun lien avec les éditeurs des nouvelles Enc. L’envoie à [Diderot] pour rendre sa l. publique, lui renvoie sa lettre.
Incipit :
« Je vous supplie instamment, mon cher et illustre confrère, de ne pas prendre la peine de venir chez moi… »
Résumé :
Candidature de Tressan à l'Acad. fr. [au fauteuil de Condillac] : le dispense de venir le voir chez lui où il n’est presque jamais. Ne doute pas du succès de son ouvrage. Pour les deux places vacantes, « silence que nos loix nous ordonnent ».
Incipit :
« Mr le Duc de Bramas m'a dit hier, mon cher confrère, qu'ilvous avoit écrit de ... »
Résumé :
Ne pas attendre que l’épidémie vienne le saisir à Franconville. Lui parlera de leurs tracasseries académiques. A presque fini de lire sa « collection », toujours avec plaisir.
Incipit :
« Je suis, mon cher confrère, dans un état de souffrance… »
Résumé :
Ne peut se déplacer et faire ce que Tressan désire. Est au café des Tuileries depuis neuf jusqu’à deux heures et souvent dans la soirée. Laconisme. « Tuus ».