Incipit :
« M. d'Alembert, je viens de lire la réponse… »
Résumé :
Rép. à la l. de D’Al. à Odar : sur son refus de venir à Moscou faire l'éducation de son fils. D’Al. devrait servir l’humanité. Il devrait venir avec tous ses amis. Fréd. II n’a pas de fils. P.-S. : Elle n’a employé que les sentiments que D’Al. exprime dans ses ouvrages.
Incipit :
« L'indulgence avec laquelle votre Majesté Impériale… »
Résumé :
Lui offre la nouvelle édition de ses Mélanges [4 vol. voir l. à Turgot du 12 janvier] et de ses Elémens de musique [1762]. Compliments accompagnant son refus. La lettre de Cath. II [du 13 novembre] insérée dans les registres de l’Acad. fr. [avec la mention de son refus]. Proposition de [Saltykov] après la l. de Cath. II.
Incipit :
« La lettre dont Votre Majesté Impériale vient de m'honorer… »
Résumé :
Rép. [à la l. du 13 novembre]. Espère que l’équité de [Cath. II] lui fera accepter les raisons de son refus. Il aurait été flatté de l’approcher, mais ne saurait éduquer un jeune prince. Santé fragile et amis aussi sédentaires que lui. Reste très honoré.
Incipit :
« L'envoi de la nouvelle édition de vos ouvrages m'a fait… »
Résumé :
Rép. à la l. de D’Al de [mi-février 1763]. Compliments sur ses [Mélanges]. A été étonnée de voir sa l. enregistrée, sa démarche lui semblait naturelle. Elle choisit le meilleur pour son fils. Lui demande de lui écrire.
Résumé :
Rép. à la l. du [7/18 août], excuses et justifications de son refus, n’a pas les talents d’éducateur d’un roi. Sa l. enregistrée à l’Acad. fr. encourage et console les philosophes. La raison mise à mal. Fréd. II l’encourage à développer ses Elémens de philosophie, lui demande également son avis.
Incipit :
« Il y a plus de cinq mois que j'ai eu l'honneur d'écrire… »
Résumé :
Sa l. [du 17 octobre 1763] remise à Golitsyn s’est peut-être perdue, il la lui renvoie. Elle et Fréd. II secouent le joug de la superstition, jésuites. Demande des conseils pour ses [Eclaircissements des Elémens de philosophie].
Incipit :
« Non, monsieur, votre lettre du 15 octobre n'est point perdue… »
Résumé :
N’avait pas répondu car chagrinée et retenue par la difficulté de donner son avis sur les ouvrages de D’Al. Il faut défendre aux citoyens de s’entrepersécuter. Les Grands valent-ils mieux à être connus de loin ? Le spirituel et le temporel.
Incipit :
« Votre Majesté Impériale me traite comme Auguste… »
Résumé :
A reçu sa l. [du 12/23 avril 1764], voudrait savoir s’il l’importune. N’a aucun talent d’éducateur de prince, écrire n’est pas enseigner, les sages comme les grands doivent être vus de loin, santé. Les Elémens de philosophie critiqués par Fréd. II, il lui a envoyé le ms. [des Eclaircissements]. Projet d’un catéchisme de morale. Jésuites du Nord et du Midi. Les grands en France bien en-dessous de la partie éclairée. Ne diffusera pas sa deuxième lettre.
Incipit :
« Les bontés multiples dont Votre Majesté Impériale… »
Résumé :
Remerciements pour la médaille. Aurait de quoi faire deux nouveaux volumes [des Mélanges] mais craint la persécution. Réflexions sur le repos. Nourrir Chaumeix et les chenilles. N’a plus part à l’Enc. Règlements de l’académie [de Cath. II]. Ne rendra pas publiques les lettres [de Cath. II].
Incipit :
« Je vous suis très obligé des belles choses que… »
Résumé :
Le remercie de ses envois. A envoyé la copie de la seconde lettre de [Cath. II] qui ne doit pas devenir publique et que Voronzov doit déjà avoir. Lui enverra les ouvrages demandés, sauf le Traité de la religion qu’il ne connaît pas et qui n’est pas un ouvrage de Fleury. Excuses car il lui écrit sur une feuille coupée.
Incipit :
« J'ai été très édifiée, monsieur, de la saine raison… »
Résumé :
Commentaire sur la Destruction des jésuites et la raison. Lui demande son « catéchisme » dont elle gardera le secret. La l. de D’Al. du 15 avril, a lu son livre au milieu d’un campement militaire. Lui envoie un « cahier » pour lequel elle a « pillé » Montesquieu dont l’ouvrage est son bréviaire.
Incipit :
« Une maladie dangereuse, qui m'a mis aux portes… »
Résumé :
Sa maladie. La réception flatteuse de la Destruction des jésuites, on lui refuse pourtant sa pension. Son attachement au roi ne s’étend pas jusqu’aux ministres. Son catéchisme. L’ouvrage Sur la législation que Cath. II lui annonce. Remerciements pour son ami Diderot.
Incipit :
« J'ai su votre maladie ; j'ai tremblé pour vos jours… »
Résumé :
Compatit à sa maladie et à l’injustice qu’il a subi. Le catéchisme de morale de D’Al., son « cahier » à elle n’est que l’ouvrage d’un écolier. Achat de la bibliothèque de Diderot : il aurait été cruel de l’en séparer.
Incipit :
« Je respecte depuis longtemps les occupations de… »
Résumé :
Si sa réponse à la question que Cath. II lui a posée dans une l. à Mme Geoffrin n’est pas suffisante, qu’elle demande des éclaircissements. Séjour de Mme Geoffrin à Varsovie chez le roi de Pologne. Les Euler chez elle. Atrocité de l’affaire La Barre.
Incipit :
« Monsieur, mes principales occupations depuis deux ans… »
Résumé :
Elle a reçu le petit écrit par lequel il répond à une question vague. A appris le voyage de Mme Geoffrin. Euler et ses fils viennent d’arriver.
Incipit :
« Votre Majesté Impériale a bien voulu recevoir il y a environ deux ans quatre volumes… »
Résumé :
Le vol. V des Mélanges, lui parviendra par Golitsyn. Lui demande ses critiques. Attend un ouvrage de Cath. II. La remercie pour ce qu’elle fait pour Diderot. Voyage de Mme Geoffrin. Sottises théologiques.
Incipit :
« Monsieur, je viens de recevoir le cinquième volume de Mélanges… »
Résumé :
A reçu le t. V des Mélanges. Rép à la l. du 15 décembre. A réécrit son code. Part pour Moscou et plus loin. Reviendra en novembre, Falconet a dû parler à Diderot de ses établissements d’éducation.
Incipit :
« Il y a longtemps, et trop longtemps… »
Résumé :
Renoue une correspondance pour implorer la grâce de huit officiers français faits prisonniers à Cracovie, au nom des gens de lettres. La philosophie éclairée réclame ses bontés, et exaltera sa générosité. La France et Cath. II. Il faut pardonner comme Fréd. II.
Incipit :
« J'ai reçu la belle lettre que vous avez jugé à propos de… »
Résumé :
Rép. à la l. du 30 octobre, sur les officiers français prisonniers de guerre dans ses Etats, réclamés au nom de la philosophie. Ils sont à Kiev et bien traités. Bruits calomnieux.
Incipit :
« La philosophie qui connaît et qui révère… »
Résumé :
La nouvelle du mauvais traitement des prisonniers français venait de haut et d’une voie sûre, mais il n’accusait pas Cath. II. S’estime maintenant détrompé et le fera savoir. Demande à sa générosité et au nom de la philosophie de les libérer.
Incipit :
« M. D'Alembert, J'ai reçu une seconde lettre écrite de votre main au sujet des prisonniers français… »
Résumé :
A reçu deux l. identiques de D’Al., puis une troisième de relance pour la libération des prisonniers français. Lui reproche de ne pas s’intéresser aux Turcs et Polonais manipulés. Libérera tout le monde en son temps.